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Année de création
2016
Lieu de création
Festival de Musique Espagnole de Cadix
Créateurs
Dédié au quatuor de la Habana
Effectif
2 violons 1 alto 1 violoncelle
Durée
5 minutes
Nombre de mouvements
1
Niveau de complexité
Simple
Édition
AGUA DE LUCES
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Extraits de l'œuvre
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Personne à contacter
Rosa María Rodríguez Hernández
Email : rosacompositora@gmail.com
Autres informations
La dialectique vie-mort est essentielle dans le quatuor ; la mort, non comme une fin physique, mais comme une sorte de pause quotidienne. Dans l'œuvre Agua de luces, l'idée de la mort et du temps est l'expression de l'angoisse et du désespoir, en conflit continu pour remporter la victoire de la vie, pour capturer la joie née de la douleur.
Agua de luces s'ouvre vers les valeurs et les possibilités lyriques de l'irrationalisme. Il expose une vision hallucinée en mêlant le passé et le présent. « Imaginer », c'est-à-dire se projeter vers l'avenir, vers l'utopie, vers l'impossible ; et "se souvenir", c'est-à-dire récupérer le passé, la nostalgie. Ce sont les deux seules possibilités de l'Etre, être dans le temps, incapable de vivre dans le présent.
La pièce est un hymne à cet avenir qui ne semble plus impossible, mais plutôt libre.
